Détends-toi le pompon
Déculpabiliser. Déconstruire. S’épanouir.
Expérimente un nouveau rapport à toi-même et à ta vie.
Avant 2016, je croyais en la suprématie du pouvoir de mon cerveau.
Je pensais que le problème était pratiquement réglé quand la prise de conscience venait d’arriver.
Ben oui, “quand on veut, on peut !” comme ils disent… ou pas.
Sous-estimerais-tu l’intelligence du processus derrière les peurs ?
Les peurs récurrentes, contrairement à ce que j’entends souvent, ce n’est pas “juste” un truc irrationnel, donc stupide, qu’on pourrait résoudre d’un coup de baguette magique et de volonté.
Je me suis rendu compte que c’est pas mal plus compliqué que cela. Parce que des fois (souvent même, je dirais), j’ai beau vouloir… eh bien je ne peux pas. Et du coup, je me déprécie et je me culpabilise.
Alors qu’en fait, c’est parce que j’ai juste mal évalué où j’en suis dans le processus. La prise de conscience n’est pas la fin du processus, juste sa porte d’entrée !
Ce qui fait que bien souvent on se retrouve avec la question suivante, énoncée sur un ton excédé avec une pointe de désespoir :
« Bon, j’ai compris ce qui me fait peur, mais je fais quoi avec ça ? Y a rien qui maaaaarche !!! »
Les 2 écueils où (presque) tout le monde se casse le nez
Sous-évaluer l’ampleur de la tâche
Un peu comme les vigies du Titanic, tu viens de te rendre compte qu’il y a un iceberg droit devant. Tu es capable d’estimer sa taille (ou pas), de le décrire… mais dire jusqu’à quelle profondeur il va ? Quelle est sa forme sous l’eau? Ouf… là tu sèches, ça dépasse tes connaissances…
C’est exactement la même chose pour une peur récurrente dont on vient de se rendre compte.
Mal évaluer les moyens nécessaires
Nous évaluons mal les moyens nécessaires pour nous attaquer à notre iceberg. Vouloir y aller à la force de nos petits bras musclés (notre mental), c’est voué à l’échec et à provoquer beaucoup de découragement, de honte et d’auto-culpabilisation.
Or dans l’Arctique, ce qui vient le mieux à bout des glaciers, c’est les petites rivières d’eau fondue qui les parcourent dans tous les sens. Elles s’infiltrent dans toutes les failles et les agrandissent en faisant fondre la glace. Finalement le glacier « vêle » un iceberg qui tombe dans la mer et se désintègre au fil de l’eau.
Avec les peurs récurrentes, c’est un peu la même chose : observer ce qui se passe sans jugement permet de créer des petites rivières de conscience. Celles-ci fragmentent le « problème » en morceaux plus petits qui fondent alors beaucoup plus facilement, c’est-à-dire qui se résolvent d’eux-mêmes.
Sais-tu t’adresser correctement à ta peur ?
Ce que tu vois aujourd’hui, ce que tu sais de ta peur, c’est juste le petit bout de l’iceberg. Toute la partie immergée (90%), c’est un maillage serré de réactions de protection, de croyances, de conclusions hâtives bâties par le cerveau (nommées aussi heuristiques ou biais cognitifs) qui se tiennent toutes ensemble par la main pour te protéger à tout prix.
Dans le maillage de ta peur sont compris les mécanismes de défense qui font que tu es encore en vie aujourd’hui. Tu ne peux donc pas te contenter de mettre un coup de pied dedans, parce que sinon tu ferais une décompensation psychique et tu irais en hôpital psy. Alors au lieu de pester contre eux, tu peux les remercier pour le boulot gratis qu’ils ont fait pendant que tu avais les yeux bouchés !
Et puis aussi, sache que si tu leur dis « Dégage, maintenant j’ai compris et je prends le relais », tu les confirmes dans leur mission. Eh oui, un adulte responsable, qui comprend bien tous les enjeux, ne va pas leur parler comme un ado en mal d’autonomie. Il va plutôt faire une passation de relais dans la bienveillance et le respect mutuel. Un peu comme une délégation de tâches, mais avec une actualisation des besoins.
Donc tant que tu veux encore les faire dégager à coup de pieds, c’est que visiblement tu n’as pas (tout) compris. Tes mécanismes de défense ont encore besoin d’être là pour s’assurer que tu ne casses pas tout en voulant bien faire (mais surtout en voulant te débarrasser de ce qui t’encombre, hein, on ne va pas se le cacher).
Une autre manière d’envisager les peurs
Ce que je propose est un travail de fond.
Car on ne combat pas un symptôme, on va chercher sa cause et la résoudre. Le symptôme disparaît alors de lui-même, sans avoir eu besoin de le combattre. Applique ça aux peurs et tu comprendras pourquoi il est absurde pour moi de chercher à vaincre ses peurs.
Je te propose une manière radicalement nouvelle d’envisager les peurs et tout ce qui te bloque, la manière d’y réagir et les modalités de la relation à soi quand on y fait face.
Ça ne remplace pas une thérapie avec un psy, parce que certaines blessures et situations laissent des schémas de pensée qui ont besoin d’être déconstruits spécifiquement avec une personne compétente (et je ne suis pas la bonne personne pour ça, car je n’y suis pas formée).
Par contre, adopter cette nouvelle manière d’envisager la relation à soi, aux peurs, et comment y faire face m’a permis personnellement d’accélérer mes thérapies car je n’avais pas (ou peu) de mécanisme de résistance à ce que je découvrais de moins agréable. J’ai moins de jugements négatifs sur moi, moins de honte et de culpabilité, ou bien celles-ci passent vite.
Je trouve que c’est une manière tellement plus douce et efficace que ce que j’ai pu voir en développement personnel jusqu’à présent que je ne peux m’empêcher de la partager maintenant.
En quoi consiste le programme
“Détends-toi le pompon” alors ?
Il s’agit d’un processus immersif de 12 semaines.
Suffisamment intense pour donner l’élan et percer à jour la dynamique récurrente problématique, acquérir les bonnes habitudes et attitudes
Suffisamment long pour se mettre sur les bons rails, dépasser un premier palier de conscience et être en mesure de cheminer seule ensuite
Attention !
Cette offre s’adresse aux personnes “averties”, c’est-à-dire ayant déjà pas mal travaillé sur elles-mêmes uniquement. Elle n’est pas adaptée aux débutants qui n’ont aucune idée de ce qui les traverse et comment ils fonctionnent.
Comment ça se passe ?
1
On commence par
une séance VIP
(Very In Profondeur)
pour aller direct au coeur de l’enjeu, en éclairer le point d’ancrage et déculpabiliser
*Soulagement*
2
On poursuit par un dialogue constant
– 1 séance d’accompagnement hebdomadaire (à ta demande)
– messages vocaux ou mails disponibles 7j/7
pour challenger ta manière de voir immédiatement, sans rester bloquée plusieurs jours
*Disponibilité maximale*
*Bienveillance totale*
3
Je mets à ta disposition toutes mes connaissances
et expériences
Que ce soit des intuitions, des pistes de réflexion, des outils, des livres, des personnes ressources
*Mon cerveau t’est dédié*
Pendant 12 semaines je t’apporte
mon hyper-sensibilité en éveil
le non-conventionnel de mon côté Haut-Potentiel
un mélange d’humour et de profonde légèreté : ma signature quand il s’agit d’aborder les peurs et tout ce qui nous bloque dans notre vie
ma forte intuition sous forme d’un lutin espiègle et ses petites bombes d’amour brut
un travail holistique (à 360°), y compris dans les énergies subtiles
mon expérience dans l’approche des blocages et des peurs selon la psychologie de la pertinence
Tu repars du programme “Détends-toi le pompon” avec avec :
le soulagement d’avoir ta propre dynamique intérieure percée à jour (enfin !)
les nouvelles habitudes et attitudes déjà ancrées, prêtes à être poursuivies
moins de culpabilité
plus d’énergie
BONUS !
Bonus 1
Ma formation audio “Détends-toi le pompon” et son carnet de chasse au trésor
Bonus 2
Une rencontre de 2h environ 6 mois après la fin du programme
Objectif : faire le point et “rectifier le tir” si besoin, répondre aux questions qui sont montées dans l’intervalle
Bonus 3
adapté à ce qui est traversé durant le programme
4500$ + taxes
Cet accompagnement n’est pas fait pour tout le monde. Afin de s’assurer notre compatibilité et vérifier que je suis en mesure de répondre à ton besoin,
un appel d’exploration de 30 minutes préalable est la première étape.
OK, JE RESERVE L’APPEL D’EXPLORATION
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