Conférence : Et si tu apprenais à t’aimer grâce à tes peurs ?

Réhabiliter. Remercier. S’émerveiller.

Se battre, c’est survivre. Vivre, c’est s’épanouir.

Le problème avec les peurs, ce n’est pas les peurs elles-mêmes. C’est l’idée qu’on s’en fait.

Et surtout la manière avec laquelle on croit qu’on doit les aborder.

Les peurs, ce n’est pas ce que tu crois

On a été éduqué depuis toutes petites à croire que les peurs étaient le problème. Or si les peurs n’étaient pas là, on passerait notre vie à côté des nos godasses, mais sans le savoir.

Les peurs récurrentes, quand elles arrivent, sont seulement les symptômes d’une fracture qui aurait lieu dans notre être suite à un choc. D’ailleurs, ces peurs, c’est plutôt des angoisses (mais c’est un autre sujet). 

A l’époque où s’est produit le choc (une rupture ou un trauma de l’attachement, pour la majorité des cas), une partie de nous a dû être exilée dans notre inconscient pour préserver notre intégrité psychique. Depuis ces oubliettes, où elle est gardée précieusement mais prend la poussière, elle est à l’affût de tout ce qu’on vit pour entrer en résonance avec et nous signaler ainsi qu’elle existe toujours, quelque part. Ce qui produit les peurs que nous connaissons. Un peu comme un écho d’une partie perdue de nous-mêmes qui cherche à se faire entendre pour ré-intégrer sa vraie place.

Defier ses peurs - reprendre son pouvoir sur sa vie - Blandine Ladouceur

Se battre contre ses peurs, c’est survivre

Avant, j’étais pressée.

Pressée de vivre. Pressée de profiter.

Je fuyais la douleur, la souffrance, devant lesquelles je me sentais impuissante et que je n’avais que trop souvent expérimentées. Je ne DEVAIS PAS être triste.

Et puis un jour une de mes profs de maîtrise en psychosociologie m’a dite une phrase, qui m’accompagne toujours depuis « Courir, c’est survivre. Vivre, c’est ralentir. » Je n’ai pas compris sur le moment, mais plus les années passent et plus j’intègre cette phrase, plus elle descend tranquillement dans mes cellules. Et je ralentis encore, ou j’essaye en tout cas. C’est un éternel recommencement pour me défaire des réflexes de survie ancrés.

Pressée de vivre, je voulais vaincre mes peurs, ces obstacles ridicules sur la route de la vie rêvée que je m’étais imaginée. S’il y avait un ravin (symboliquement parlant), je rassemblais toutes mes énergies pour jeter un pont en travers et passer dans l’instant.

Vivre comme ça, c’est grisant. Mais c’est surtout épuisant. Un combat perpétuel contre ma nature. Une succession de tentatives (désespérées, mais ça je n’en ai pas conscience sur le moment) pour repousser l’impuissance qui me terrifie. L’impuissance, c’est la mort. Donc j’agis frénétiquement pour ne pas me laisser réduire à l’impuissance.

Et puis un jour, n’ayant plus l’énergie (ce jour arrive pour tout le monde, plus ou moins tard), j’ai dû faire autrement. Et heureusement ! J’ai tellement changé mon regard sur moi et ma valeur dans ce cheminement.

S'épanouir malgré les peurs - Blandine Ladouceur

La peur est porteuse de vie, de bonne nouvelle (si si !)

Donc si un jour tu as peur de te faire juger, de réussir, de paraître trop grosse, de te planter, de rentrer en relation intime avec quelqu’un… C’est une bonne nouvelle !

Bon, je suis à peu près sûre que tu ne vois pas les choses comme ça. De l’extérieur, ça a l’air juste chiant de ne pas pouvoir accéder directement à ce que tu voudrais. Mais en fait, c’est une bonne nouvelle car cette peur te signale de manière super précise les parts de toi sur lesquelles tu dois porter amour et attention pour les réunir à nouveau, enfin, et te sentir complète.

D’ailleurs, la peur que tu sens, celle sur laquelle tu es capable de mettre des mots (ou pas, d’ailleurs), c’est juste le petit bout de l’iceberg, le fil qui commence la pelote de laine. Il y a teeeeeellement plus de choses que ce que tu penses derrière, qui sont cachées pour l’instant car ça fait partie du jeu ! C’est un mécanisme de protection, de sauvegarde… Tu ne crois quand même pas que son fonctionnement va être mis au grand jour? Ça serait trop dangereux, des fois que cette protection pourrait être démantelée sans que les conditions adéquates soient réunies pour continuer à prendre soin du précieux qu’elle protège depuis si longtemps…

Etre heureuse malgré les peurs - Blandine Ladouceur

Tu es assise sur un trésor sans le savoir

Car tu es assise sur un véritable trésor, mais tu l’ignores sans doute.

Toutes tes peurs récurrentes – je dis bien « toutes » – recèlent des merveilles que tu as à découvrir sur toi-même. Pas une « meilleure version de toi-même » comme j’entends souvent, encore une chimère que tu pourrais atteindre si tu fais suffisamment d’efforts, si tu es une bonne fille disciplinée. Non, le merveilleux dans l’ici et maintenant, dans ce que tu as toujours été, mais qui est resté caché jusqu’à présent, enfoui sous les mécanismes de protection.

Peu importe que tu te crois sans intérêt, que tu te considères bien peu vu certaines actions peu avouables que tu as faites dans ta vie, ce que tu as subi et qui semble t’avoir salie pour le reste de ta vie… ce trésor est là. Je t’en parle parce que tout ce que je viens d’écrire dans la dernière phrase, je le pensais pour moi-même et au cours de mon exploration de moi-même, je n’ai jamais rien trouvé de moche, qui mériterait d’être jeté. Ni chez moi, ni chez mes clientes.

Par contre, j’ai trouvé des blessures qui avaient besoin d’être vues, reconnues, entendues, considérées comme légitimes et valides, pertinentes. Et à chaque fois que j’ai pu m’apporter cela, cette reconnaissance inconditionnelle, elles se sont transformées en merveilleux cadeaux. Des cadeaux auxquels je n’aurais jamais pensé – ni même osé – espérer. 

 

Ma démarche : à l’opposé des tendances face aux peurs

 

C’est quand on n’accepte pas les peurs, et l’imprévisibilité de la vie qui va avec, qu’on veut tenter de tout contrôler ou prévoir pour ne jamais être surpris et pris au dépourvu. 

Quand on apprend à aimer nos peurs même si elles nous procurent de l’inconfort, que l’on préfère ressentir et s’ajuster plutôt que contrôler et prévoir… c’est là que la vraie vie s’ouvre à nous, que la connexion avec la nature (et notre propre nature) de manière pleine et entière est possible.

Entrer dans la sensibilité et la patience que nécessite la foi dans le processus qui se passe en nous, sans être capable de tout contrôler… Voilà qui permet de rendre la vie plus douce au lieu d’une perpétuelle bataille contre ce qui est là et qui ne nous plaît pas.

 

C’est quoi cette conférence
“Et si tu apprenais à t’aimer grâce à tes peurs” alors ?

C’est une conférence d’ 1h30, questions comprises

Suffisamment longue pour que te transmettre qu’on peut passer d’une guerre contre la peur à une pratique d’amour de soi au quotidien

Suffisamment courte pour se loger aisément dans une vie occupée (tu peux même l’écouter juste en audio pendant que tu fais à manger par exemple)

Ce que tu découvriras tout au long de
ce tête à tête entre nous

1

Le VRAI rôle de la peur
le réflexe de survie, mais surtout
le réflexe de vie qui est méconnu

2

Une nouvelle vision
de la peur

     

    3

    La peur, un prétexte pour s’aimer

    plus et mieux

    Un fascicule avec des exercices concrets est en cours de création
    afin de t’accompagner concrètement dans le processus.

    Tu le recevras dès qu’il sera prêt.

    Pendant 1h30 je t’apporte

    peur - accompagnement - quebec

    mon hyper-sensibilité en éveil

    peur - accompagnement - quebec

    le non-conventionnel de mon côté Haut-Potentiel

    peur - accompagnement - quebec

    un mélange d’humour et de profonde légèreté : ma signature quand il s’agit d’aborder les peurs et tout ce qui nous bloque dans notre vie

    peur - accompagnement - quebec

    mon expérience dans l’approche des blocages et des peurs selon la psychologie de la pertinence

    Tu repars de cette conférence avec:

    Z

    le soulagement de savoir
    que tout ce que tu ressens est valide, légitime et pertinent

    Z

    davantage de paix par rapport aux parts de toi qui te paraissent moins aimables

    Z

    un oeil plus bienveillant et positif envers ces comportements-réflexe qui te déplaisent

    Z

    la possibilité de t’aimer enfin, même AVEC tes peurs

    F.A.Q.

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    • Pour être libre de le consulter quand vous êtes vraiment disponible
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    L’accès à la conférence vous est garanti 6 mois.

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    Voici quelques astuces pour profiter au mieux de l’expérience :

    • sélectionner un moment où vous êtes vraiment disponible (durant 2h pour écouter et faire les exercices)
    • faites-le quand vous vous sentez prête
    • installez-vous confortablement (nous serons ensemble environ 2h, autant ne pas avoir mal aux fesses)
    • Munissez-vous de votre plus beau stylo/ crayon et de votre plus beau carnet : tout au long de la conférence, vous serez invitée à noter / penser et écrire des choses pour choyer vos peurs.
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    • Ecrire un commentaire sous la vidéo auquel je répondrai : cela permet à tout le monde de profiter de la réponse :-). Et vous en serez ainsi notifiée.
    • M’envoyer votre question ou vos questions par email à jaimemespeurs@blandineladouceur.com. Je répondrai également à la question en commentaire de la vidéo pour que chacun puisse l’avoir et vous répondrai lorsque la réponse sera en ligne

     

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    Pour une approche systémique des peurs (enfin !)

    Pour une approche systémique des peurs (enfin !)

    « Quelque chose manque » : voilà ce que je me dis quand je commence à lire sur les peurs en 2016.

    Puis ça se transforme assez vite en la conviction qu’on « manque l’éléphant au milieu de la pièce ».

    Quel éléphant ?

    Quelle pièce ?

    C’est ce que je vais révéler ici.