Affronter ses peurs en soutenant son corps : pourquoi c’est capital
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Quand on cherche à affronter ses peurs, on oublie le plus souvent notre corps en mettant tous nos espoirs sur notre petit mental musclé.
Pourtant, il est finalement bien plus simple qu’on ne pense de mettre notre corps au service de notre plus grand bien.
Mais pourquoi j’y arrive pas ?!
Quand on veut s’occuper de nos peurs, on a tendance à ne s’occuper que de ce qui se passe dans notre tête.
Normal, c’est ce qui nous semble le plus accessible.
Le fonctionnement de notre corps est souvent une « boîte noire » dont on ne connaît pas grand-chose. Et puis je dois dire que ce que j’entends un peu partout, quand il s’agit des peurs, c’est de « volonté », « se mettre un coup de pied aux fesses », etc.
Jamais je n’ai entendu parler de soutenir la physiologie de mon corps pour que ça se passe mieux.
Si ta biologie pédale dans l’autre sens, t’as aucune chance !
C’est bien beau que ton mental veuille aller dans un sens… mais si ta biologie pédale dans le sens opposé parce que ton corps est en mode panique (et survie), tu n’iras nulle part.
Car le mental peut être fort, quand il s’agit d’affronter ses peurs c’est quand même toujours le corps qui a le dernier mot.
Moi, quand j’ai lu ça, je me suis dit tout de suite « Wow, je comprends mieux pourquoi j’avais l’impression de pédaler comme une malade sans arriver à rien ! ».
Tout d’un coup, la pression retombe.
Moins de pression, plus de conscience
Cette prise de conscience m’a beaucoup déculpabilisée car j’y voyais une explication très logique au fait que, malgré toute ma bonne volonté et mes efforts, parfois (trop souvent !) certaines choses ne fonctionne pas comme je l’avais planifié.
Plutôt que de m’auto-flageller pour mon manque de volonté, l’idée d’aller explorer ce qui se passe pour mon corps m’a séduite. Cette manière de voir me permet de m’apporter de la bienveillance au lieu de me « cravacher » toujours plus pour tenter d’atteindre mes buts.
Au lieu d’y aller en mode « bourrin », et si j’écoutais l’intelligence derrière mes gestes ?
Le corps a sa propre intelligence
C’est là que je me suis rendu compte encore davantage que le corps a sa propre intelligence. Une intelligence qui ne passe pas par les mots, ou par le mental. Régulièrement, on n’a même pas besoin de comprendre ce qui se fait ; on a juste à soutenir son corps, l’accompagner… et on traverse la peur presque sans s’en rendre compte.
Comment peut-on soutenir son corps pour affronter ses peurs ?
Je connais déjà quelques réponses, mais je suis persuadée qu’il en existe énormément d’autres. Cachées dans les expertises particulières de beaucoup de domaines (yoga, danse, naturopathie, médecine chinoise, PNL, etc.)
Je me suis dit que ça serait bien que je fasse cette recherche, car la peur c’est la quête de ma vie. J’aime faire des recherches donc je vais avoir plein de discussions avec des gens d’horizons variés. Je compte leur demander comment leur discipline, et ses connaissances de pointe, peut nous aider à affronter plus rapidement et moins douloureusement nos peurs en soutenant notre physiologie.
Je pense revenir régulièrement écrire ou enregistrer épisode podcast pour raconter :
– les prises de conscience
– en quoi ça change mon rapport à la peur
– en quoi ça change ma compréhension de celle-ci
– comment je peux alors faire pour traverser mes peurs plus rapidement et moins douloureusement
Pourquoi soutenir son corps pour affronter ses peurs ?
Non seulement on passe à côté d’un allié capital, mais en plus on donne bien trop de responsabilités à notre pauvre mental… qui finit en burn-out à pagayer à contre-courant du paquet de chips qu’on engouffre affalée sur le canapé.
Il existe de nombreuses réponses concernant la manière de soutenir son corps lorsque l’on vit des peurs.
Elles sont cachées dans les multiples expertises particulières de domaines assez pointus.
Je me fais donc une mission d’aller enquêter pour te ramener ces réponses.
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J’explique dans cette vidéo POURQUOI je vais aller chercher dans tout ce qui touche au corps de quoi nous permettre de :
- traverser nos peurs plus vite et en souffrant moins…
- les traverser avec beaucoup moins de culpabilité ! #ElleEstPasBelleLaVie
Pour cela, je vais faire des recherches dans le domaine de la médecine classique (neurosciences notamment). Je prévois aussi d’intégrer un certain nombre de médecines alternatives et techniques comme la PNL ou l’EMDR.
Je compte également intégrer la recherche concernant des pratiques du corps comme la danse, le chant, le yoga et bien plus !
En fait, j’espère vous montrer à travers toute cette exploration combien les possibilités que nous avons sont variées et géniales.
Pour voir toutes les vidéos sur ce thème « Soutenir son corps en traversant une peur », cliquez ici
(1) vaincre une peur rapidement : « vaincre », quel verbe je déteste pour parler des peurs ! Mais c’est le mot qui est utilisé le plus souvent aujourd’hui, malheureusement. Et si je veux que Google référence bien mon article, je dois l’écrire ainsi. Juste parce que c’est l’expression que les gens comme toi recherchent, à défaut d’en connaître une autre plus adaptée.
Même si je préfère de loin les mots comme « embrasser ses peurs » ou « traverser ses peurs ». Ces expressions ne laissent pas supposer une guerre contre soi-même.
Petit à petit, je compte bien faire changer cette expression ! #Na